Page 140 - MORPHOLOGIE DES STRUCTURES
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140 LES TREILLIS
2 f1 f1 Ω1 Ω1 Ω2
n=2 F n =2
1F 2
f2 f2 f1 6 f1 3Ω1 3Ω1
F 8 f1
n=4 n =2 3Ω2
3F n =4
3 f2 3 f2 f2 f2 7 f1 3 f1
F FF
3 f1 n = 2
3F
2
18 f1 16 f1 10 f1
n=6
5F
5 f2 5 f 2 3 f2 3 f2 f2 f2 17 f1 13 f1 5 f1
FF 5Ω 2
FF F
5Ω1 5Ω1
3Ω1 3Ω1 5Ω1 5Ω1
n=2 3Ω2
5 Ω2
n=4 n=6
5f n=4
1
n=2
5F
2
[n−2]
1 2 3 i n − 2 n −1
22
(n−1)Ω1 (n−1)Ω1
(n−1) Ω 2
[n]
1 23 i n − 2 n −1 n
FFF F
F F2 F2 F2
Figure 3.4.11.
Il est remarquable de constater que ce gnomon reste quasiment identique sous charge ponctuelle mobile d'intensité
égale à la moitié de la charge totale uniformément répartie ; il suffit en effet d'y ajouter une section supplémentaire
aux V successifs de k, 2k, 3k, … et ce symétriquement à partir des appuis. (figure 3.4.12.).
Il est possible, à partir de ceci, d'imaginer la construction de treillis WARREN optimum en superposant des lattes
de bois cintrées de seulement deux sections différentes (voire trois pour “coller” rigoureusement au cas de la charge
ponctuelle mobile), et ce sans le moindre assemblage métallique.